15 ans ! C’est la durée de l’union sacrée qui aura lié l’espagnol Sergio Garcia, 37 ans, et la marque TaylorMade. Rapidement annoncé à ses débuts comme le futur principal adversaire de Tiger Woods, au début des années 2000, et alors qu’il jouait des clubs Titleist, Adidas et TaylorMade n’ont pas mis longtemps à lui proposer un contrat de star, pour en faire la tête de gondole d’une offre frontalement opposée à celle de Nike.
Andres Romero porte une lourde tâche sur ses épaules : Maintenir le golf argentin au plus haut niveau sur l’échiquier mondial. Seulement quelques semaines après le décès de la légende Roberto De Vincenzo, 94 ans, Andres Romero vient de remporter avec brio le BMW International Open 2017 à Munich, devant un champ de joueurs très relevé, dont Sergio Garcia, le vainqueur du Masters, et Henrik Stenson, le tenant du titre de l’Open Britannique.
Quel spectacle ! Un parcours exceptionnel, des golfeurs au sommet de leur art. Des coups de golf venus d’ailleurs, des rebondissements, des déceptions et une véritable délivrance pour le vainqueur de ce Masters : l’Espagnol Sergio Garcia. Retour sur ce week-end d’anthologie sur le parcours de l’Augusta National par notre chroniqueur, Jean-Louis Tourtoulon
Cette fois, c’est fait ! Après un dernier tour exceptionnel contre son ami Justin Rose, Sergio Garcia a enfin remporté son premier majeur, et pas n’importe lequel puisqu’il s’agit du Masters d’Augusta. 18 ans après sa première apparition tonitruante, Garcia, en ce jour de 60eme anniversaire de Seve Ballesteros a vaincu le signe indien, et démontré qu’il était bien l’un des meilleurs golfeurs du monde… à avoir au moins remporté un majeur.
Quel spectacle cette année à Augusta ! La dernière partie entre Sergio Garcia, et Justin Rose nous a offert un grand moment de golf, et un véritable duel avec tout ce qu’il faut de suspense pour que cette édition 2017 reste pour longtemps dans les mémoires.
En l’espace de sept mois, le natif de Barrika en Espagne s’est fait plus qu’un nom au plus haut niveau. Déjà vainqueur d’un tournoi du PGA Tour, et pas sur n’importe lequel des parcours (Torrey Pines), Jon Rahm s’illustre à nouveau dans le cadre des championnats du monde de match-play disputé à Austin au Texas. Vainqueur de son groupe, aux dépens de son compatriote Sergio Garcia, il avance vers les huitièmes de finales en même temps que quatre autres européens.
Le Championnat du monde de golf en Match Play Dell Technologies à l'Austin Country Club cette semaine, est l'un des tournois les plus passionnants cette année. À deux semaines du Masters, c’est l’occasion pour les meilleurs joueurs du monde de tester leurs adversaires, et presque tous sont en ce moment à leur meilleur niveau de jeu. Cela sera l'une des rares fois où nous verrons les plus grands golfeurs du monde se confronter directement en tête-à -tête.
Ni les éléments, ni Henrik Stenson, n’auront pu empêcher Sergio Garcia de remporter l’Omega Dubaï Desert Classic. Le suédois s’est battu jusqu’à la fin du dernier trou, mais Sergio était vraiment trop fort cette semaine. Au final, l'espagnol devance de trois coups son ami Henrik Stenson, et de cinq coups, Lasse Jensen et Tyrell Hatton.
Il y a quelques semaines, le monde du golf était en effervescence en pronostiquant que Bryson Dechambeau, qui pour sa dernière participation en tant qu’amateur, pouvait remporter le Masters. À l’US Open, c’est le jeune amateur Espagnol Jon Rahm qui retenait la même attention de la part des pronostiqueurs. Tous les deux ne sont pas passés loin de l’exploit. Tous les deux font sans aucun doute partie de la nouvelle relève qui va enflammer les prochains grands événements golfiques.
Difficile de distinguer une réelle hiérarchie après 48 heures de compétition à Oakmont pour le second majeur de golf de l’année. Le début du tournoi a été fortement perturbé par les conditions météos créant une petite désorganisation des parties, ce que les pros n’ont pas manqué de faire remarquer à l’USGA. Dans ces conditions, les favoris ne sont pas encore réellement sortis du bois, et en attendant, nous avons retenu le parcours de trois golfeurs qui en ont profité pour s’illustrer et crever l’écran : Andrew Landry, Sergio Garcia, et Dustin Johnson.
A 36 ans, Sergio Garcia, le natif de Castellon, démontre qu’il reste une des superstars du golf professionnel dans le monde. En remportant ce week-end, l’étape du TPC Four Seasons de Cottowood Valley, soit le Byron Nelson sur les terres texanes de Jordan Spieth, l’espagnol a su saisir sa chance, et pour une fois, l’histoire ne retiendra pas une seconde place de perdant magnifique.
Au milieu des années 2000, le plus beau swing du tour, était encore trop tendre pour se hisser au niveau des Woods, Mickelson, Els et autre Singh. Dix ans plus tard, la question est de savoir s’il pourra rattraper la jeune génération incarnée par Spieth, McIlroy, Day et Fowler. Pourtant entre deux époques, l’australien qui a aujourd’hui 35 ans, a pris un temps le titre de numéro un mondial, et une victoire au Masters 2013, mais finalement, sans jamais durer au sommet comme son talent semblait pourtant l’y prédestiner.
A 35 ans, l’espagnol est bien entendu une star du golf mondial. Il a participé à de nombreux spots publicitaires pour vanter le PGA Tour, et représente la marque TaylorMade Adidas depuis plus d’une décennie. Période au cours de laquelle, « El Nino » a été un des adversaires de choix de Tiger Woods, mais aussi incapable de franchir le dernier palier de sa carrière : remporter un majeur ou devenir numéro un mondial. Le train serait-il finalement passé ? En tout cas, sa décision de manquer le final de la Race To Dubai n’est pas passée inaperçue, y compris sur les réseaux sociaux…
Récemment considéré comme le joueur le plus surcoté du PGA Tour par un sondage des joueurs, Rickie Fowler a répondu de la façon la plus brillante, en remportant le plus gros tournoi du PGA Tour en dehors des majeurs.
Le release est une étape clé du swing. Mais, contrairement à ce que vous pourriez croire, il n’existe pas un seul release, mais bien un release adapté à chacun. Découvrez en quoi votre release, même si ce n’est pas celui de Sergio Garcia n’est pas forcément un handicap pour très bien jouer au golf !