Ce sujet risque de ne pas interpeller une majorité de golfeurs, et pourtant, le film diffusé par Netflix consacré aux golfeuses thaïlandaises, les Jutanugarn, Ariya et Moriya nous donne une leçon sur la pratique du golf, et un premier commentaire : Il faut jouer au golf pour de bonnes raisons ! Ce biopic ne gagnera sans doute pas un prix à un Festival cinématographique, mais il en dit long sur la culture du golf en Asie, une vision du jeu très disciplinée et une soif de réussir quoi qu’il en coûte, que, nous européens avons du mal à saisir. Ce film explique pourtant l’influence d’un père, clairement dénommé dans ce long-métrage « le cinglé » sur deux petites filles qui subissent ses lois implacables, avant de finir par épouser son rêve : Devenir numéro un mondial de golf !
Après une carrière totalement réussie en tant que golfeuse professionnelle, Suzann Pettersen a établi en octobre 2020, une nouvelle collaboration avec la fondation à but non lucratif GEO, pour aider à la mission d'accélérer la durabilité dans, et par le golf, dans le monde entier. Nous revenons à cette occasion sur sa carrière, sa victoire historique lors de la Solheim Cup 2019, sa façon de raconter à son fils Herman, sa carrière de golfeuse professionnelle, et son choix de la terminer, pour s’accomplir en tant que maman.
3,4 milliards de personnes sont confinées dans le monde, soit près de 43% de la population mondiale, et pour ainsi dire la plupart des pays concernés par des tournois de golf professionnels, des Etats-Unis jusqu’à l’Europe. Dans le monde d’après, au-delà du fait de sortir du confinement, et d’essayer une retrouver une vie sociale, tous les pays ne sortiront peut-être pas en même temps, et tous les individus ne retrouveront peut-être pas leur liberté de mouvement en même temps. Comment imaginer un calendrier international et sportif en 2020 ? Ne faudrait-il pas d’emblée travailler pour 2021 ?
Formée à l’Université de Duke aux Etats-Unis, Céline Boutier démontre que pour percer au plus haut niveau dans le golf féminin, il faut passer par le cursus complet « américain », de l’université au LPGA Tour, en passant par le Symetra Tour. Son exemple doit inspirer de nombreuses jeunes golfeuses dans l’hexagone, bien qu’en France, beaucoup voudront poser en photo à côté d’elle, en espérant qu’ils ou elles puissent s’adjuger une part de sa réussite. La vérité, c’est qu’elle doit ses performances principalement au fait d’avoir très jeune accompli le difficile choix de l’expatriation, en même temps que de travailler avec les meilleurs, dont Dan Brooks, Cameron McCormick ou Karine Mathiot.
Brooke Henderson a brillamment représenté le Canada lors de son Open national, le dimanche 26 août 2018. Après des années de défaites des canadiennes, Brooke Henderson a été en mesure de remporter ce tournoi sur ses terres. Âgée de seulement 20 ans, en obtenant cette première place, elle change l’histoire du golf canadien, d’autant plus que le circuit de la LPGA ne s’arrête qu’une seule fois au Canada cette année. Portrait d'un grand espoir du golf féminin en mesure de rivaliser avec les joueuses du continent asiatique, et notamment dans quelques jours sur le parcours du Evian Championship 2018.
C’est le lancement d’une nouvelle saison pour les meilleures golfeuses du monde. Elles ont commencé par le Pure Silk-Bahamas LPGA Classic, qui s’est tenu sur l’Ocean Club Golf Course à Paradise Island. Entre contraintes économiques, nouveaux tournois, des golfeuses américaines qui peinent à rester dans le top-20 mondial en nombre sous l'effet de la concurrence des sud-coréennes, le LPGA Tour entame une nouvelle tournée dans le but de couronner la meilleure des meilleures. Et cette année encore, elles seront nombreuses à prétendre à la couronne suprême. Revue d'effectifs des meilleures joueuses du monde...
Initialement non convoquée pour disputer la Solheim Cup 2017 dans l’IOWA à Des Moines contre l’équipe européenne d’Annika Sorenstam, Karine Icher et Mel Reid, l’américaine Paula Creamer, 31 ans, a finalement pris le strapontin libéré par Jessica Korda, et activement participé à la victoire du team USA de Juli Inskter.
Et si c’était enfin la bonne ! Depuis ses débuts en majeur en 2001, Karine Icher n’a encore jamais remporté de majeur, ni de tournois sur le LPGA Tour, circuit dont elle est membre depuis 2003, une longévité rare pour une golfeuse française. En tête du ANA Inspiration, premier majeur de la saison de golf féminin, disputé sur le parcours de Rancho Mirage, la française a rendu une première carte de 67, sa meilleure performance jusque-là, et alors que le premier tour n’a pas encore été à son terme en raison de fortes rafales de vents.
Le circuit féminin européen est en train de tranquillement disparaître dans une certaine indifférence. Certes en 2016, le circuit affichait encore 30 dates à son agenda, dont 9 seulement sur le continent européen. En 2017, le calendrier complet n’est pas encore publié. Il ne devrait pourtant pas présenter plus d’épreuves en Europe, ce qui finit de pousser un certain nombre de joueuses européennes, dont des françaises à jeter l’éponge, faute de moyens suffisants pour voyager tout autour du monde. C’est le cas de Lucie André qui en arrive au point de privilégier le LETAS, circuit de seconde division intégralement joué en Europe. Quel avenir et quelles solutions pour le golf féminin professionnel en Europe ?
L’idée de ce sujet sur le premier jour passé à Evian ne tient pas seulement au fait que l’américaine Lexi Thompson se soit illustrée d’entrée de tournoi, en prenant les commandes avec autorité (score de 66) -5 sous le par. Le fait que le tournoi soit passé du statut de Masters à Championship est aussi une affaire de petits détails imperceptibles pour le grand public que nous vous proposons de vous relater.
Alors que ce dispute cette semaine, le Ricoh Women’s British Open, majeur de golf féminin, la question mérite d’être posée alors que les golfeuses américaines ou européennes ont les plus grandes peines du monde à rivaliser avec leurs consoeurs sud-coréennes, emmenée par l’actuelle numéro un mondiale, Inbee Park.
Ce dimanche, la sud-coréenne Inbee Park n’a pas seulement remporté le deuxième majeur de la saison sur le LPGA Tour, elle est tout simplement entrée dans l’histoire, et rappelé à tous qu’elle était bien aujourd’hui, la meilleure golfeuse du monde.
Seul majeur organisé en Europe Continentale, l’Evian Championship s’inspire des grands tournois masculins et des autres majeurs féminins, en organisant depuis 2014, et son arrivée dans le monde des tournois majeurs, des épreuves qualificatives, qui ont surtout pour but d’être accessibles par les jeunes golfeuses.
L’an passé, elle était tout simplement la meilleure golfeuse chez les amateurs. En 2015, elle vient tout juste de remporter son premier tournoi sur le LPGA Tour, battant au passage la prometteuse Perrine Delacour. La tendance est toujours au rajeunissement dans l’élite du golf professionnel, surtout depuis que Lydia Ko, l’ancienne meilleure amatrice est désormais la meilleure tout court.Qui est Minjee Lee ?
La jeune golfeuse Picarde pourrait bien commencer à se faire un nom dans le monde du golf féminin professionnel. 4ème du Kingsmill Championship alors qu’elle était classée 321ème mondiale, Perrine Delacour ne manque pas d’ambition…A la découverte d’une jeune golfeuse française sur le LPGA Tour...